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Déclaration publiée le 25 juin 2025 par le Comité national du Parti socialiste des travailleurs.
Les travailleurs du monde entier ont un énorme intérêt dans une victoire du gouvernement israélien dans sa bataille de vie ou de mort pour empêcher un nouvel Holocauste.
Cette menace monstrueuse a été annoncée par le pogrom du 7 octobre 2023 organisé conjointement par le régime de Téhéran et le Hamas. Au cours des derniers mois, ce danger s’est accru quand le gouvernement iranien a accéléré sa marche pour développer des armes nucléaires et un système de missiles balistiques capables de les porter.
DÉCLARATION DU COMITÉ NATIONAL DU PARTI SOCIALISTE DES TRAVAILLEURS
Si une seule ogive parvenait à frapper l’une des trois principales villes d’Israël, le nombre de victimes serait dévastateur. À peine quelques armes de destruction massive de ce type pourraient anéantir la grande majorité des 7 millions de Juifs, les 2,5 millions d’Arabes et les autres habitants qui vivent en Israël. Comme Israël est le foyer de près de la moitié des Juifs de la planète, un pas de géant serait franchi vers ce qu’Hitler et les nazis appelaient la « Solution finale » – faire disparaître de l’histoire les Juifs en tant que peuple.
Aussi récemment qu’en mai de cette année, le guide suprême iranien Ali Khamenei a déclaré qu’Israël « est une tumeur mortelle, dangereuse et cancéreuse [qui] doit certainement être éradiquée – et elle le sera ». Le 16 juin, quatre jours après la réponse décisive d’Israël au cours de Téhéran pour se doter d’armes de destruction massive, le Corps des gardiens de la révolution islamique du régime a annoncé : « Les opérations se poursuivront jusqu’à l’élimination de l’entité sioniste ».

La conjonction de ces dangers depuis octobre 2023 est la raison pour laquelle le gouvernement israélien a lancé le 12 juin à travers l’Iran des attaques ciblées contre des objectifs nucléaires et militaires associés. Il s’agit d’opérations défensives qui visent à mettre fin aux efforts déployés depuis des années par le régime de Téhéran pour détruire le seul État au monde qui offre un refuge inconditionnel contre la violence et les pogroms incités par la haine des Juifs.
La politique du gouvernement impérialiste américain, y compris ses frappes de missiles aériens et sous-marins contre l’Iran, n’a rien à voir avec la bataille de vie ou de mort d’Israël. Bien au contraire. L’objectif des dirigeants américains est de renforcer leur propre domination sur les pays de la région, afin d’exploiter leurs richesses naturelles et le travail de millions d’Arabes, Juifs, Kurdes, Druzes, Yazidis et autres peuples. Et d’imposer une Pax Americana au Moyen-Orient.
Avec plus de 40 000 soldats américains déjà déployés dans la région, ainsi que deux groupes de porte-avions et de nombreuses bases aériennes et navales, les actions de Washington ouvrent la voie à de nouvelles guerres, avec un nombre accru de morts et de blessés militaires et civils. En revanche, des victoires militaires israéliennes décisives pour empêcher le régime de Téhéran et le Hamas d’atteindre leurs objectifs génocidaires porteraient un coup à l’extension des guerres à travers le Moyen-Orient. Ces succès feraient également reculer les puissances impérialistes, dont les rivalités croissantes poussent l’humanité vers une troisième guerre mondiale.
Ces victoires restent toujours à remporter.
L’objectif des familles dirigeantes américaines et de leur gouvernement – qu’il s’agisse des administrations Obama, Biden et Trump ou de leurs prédécesseurs – n’a jamais été de défendre les Juifs. En Israël ou ailleurs. Les dirigeants américains ne se soucient pas plus des deux millions de Palestiniens de Gaza et des millions d’autres Palestiniens et Arabes en Israël même et dans toute la région.
La classe dirigeante américaine a les yeux rivés sur le pillage. Sur le pillage des vastes ressources naturelles du Moyen-Orient, avant tout ses champs de pétrole et de gaz, et sur l’exploitation de sa main-d’œuvre à bon marché.
Dans le monde capitaliste actuel, avec ses rivalités et sa course au réarmement alimentées par le profit, la dernière chose que veut Washington, c’est de déstabiliser ses relations économiques, politiques et stratégiques avec les gouvernements bourgeois du Moyen-Orient. Washington agit pour maintenir les intérêts de l’impérialisme américain – et son contrôle – sur ce qui s’y passe. C’est pourquoi le retrait des troupes, bases aériennes, navires de guerre et autres installations militaires américaines au Moyen-Orient est dans l’intérêt des travailleurs de toute cette région et du monde entier.
Rien n’est plus faux que les affirmations de la gauche bourgeoise et petite-bourgeoise voulant que l’État d’Israël est un pion de Washington. Ainsi que les dernières semaines l’ont encore une fois démontré, le gouvernement capitaliste israélien ne subordonne la défense et la survie d’un refuge pour les Juifs à aucun autre pouvoir d’État, où qu’il soit sur la planète.
« Plus jamais ! » n’est pas un simple slogan en Israël. C’est la détermination du peuple juif à empêcher que la « Solution finale » ne devienne une réalité.
Le cours génocidaire de Téhéran et du Hamas
Les conflits militaires actuels au Moyen-Orient ont été déclenchés par le pogrom du 7 octobre 2023 dans le sud d’Israël, quand le Hamas et ses alliés, poussés par la haine des Juifs, ont agi comme les agents de Téhéran. Ce pogrom a été la déclaration ouverte d’une nouvelle offensive pour exterminer les Juifs de la région et pour détruire l’État d’Israël. Parmi ses buts immédiats, cette attaque visait à bloquer les perspectives croissantes que l’Arabie saoudite et plusieurs autres États de la région se joignent aux accords d’Abraham et reconnaissent le droit d’Israël d’exister.

En ce jour infâme, le Hamas a massacré avec une brutalité indescriptible quelque 1 200 hommes, femmes, enfants et nourrissons israéliens. Parmi les victimes, il y avait des habitants de kibboutz et d’autres communautés de la région, ainsi que des participants à un grand festival international de musique. Les pogromistes ont ramené à Gaza plus de 250 otages, dont certains étaient gravement blessés et d’autres déjà morts. Avec le lancement de cette bataille sanglante par le Hamas et Téhéran le long de la frontière de Gaza, Israël a fait face à une guerre menée sur sept fronts : des attaques du Hezbollah depuis le Liban au nord jusqu’à l’Iran à l’est, du Yémen au sud, et à l’intérieur même d’Israël et de la Cisjordanie.
Le Hamas préparait son pogrom depuis des années. Il s’agit de l’attaque la plus importante et la plus meurtrière contre des Juifs depuis les exécutions de masse et les camps de la mort nazis, où six millions de Juifs ont été massacrés pendant la Deuxième Guerre mondiale.
Le Hamas a également sacrifié de sang-froid plusieurs milliers de Palestiniens à Gaza, qu’il continue d’utiliser comme boucliers humains et comme « martyrs ». Cette organisation d’inspiration nazie a construit des centaines de kilomètres de tunnels militaires, de dépôts d’armes et de postes de commandement sous des écoles, des hôpitaux, des complexes résidentiels et des maisons. Elle a intentionnellement placé ces cibles militaires dans des emplacements civils, de façon à exploiter les victimes qui en résulteraient pour gagner la sympathie du monde entier. En même temps, tout en planifiant une telle guerre totale depuis des années, le Hamas n’a pas dépensé un sou pour construire des abris pour la population.
Le ciblage délibéré et aveugle de centres civils en Israël, dont des quartiers palestiniens, a brutalement confirmé les objectifs génocidaires de Téhéran. Ces civils sont les victimes visées délibérément par les drones, missiles balistiques et bombes à fragmentation de Téhéran.
Le président Trump a clairement exprimé le mépris de Washington pour les travailleurs de Gaza quand il a « offert » d’acheter le territoire, d’en évacuer la population ailleurs dans le monde et de transformer Gaza en « Riviera du Moyen-Orient », un terrain de jeu pour sa classe de milliardaires.
La grande majorité du peuple israélien soutient les actions décisives du gouvernement pour tirer parti de l’affaiblissement temporaire de Téhéran et porter un coup fatal à ses ambitions d’armement nucléaire. L’histoire vivante de l’Holocauste pendant la Deuxième Guerre mondiale, la raison pour laquelle Israël a été créé, est toujours présente.
Le soutien au droit d’Israël d’exister et à ses actions militaires défensives est également largement répandu parmi les travailleurs de nombreux pays à travers le monde. Non seulement y a-t-il une profonde révulsion pour le pogrom du 7 octobre, mais des dizaines de millions de personnes sont révoltées par la violence gratuite de ceux qui commettent ou cherchent à justifier des actes de haine envers les Juifs sous la fausse bannière de l’anti-impérialisme et de « l’antisionisme ».
Aux États-Unis seulement au cours des derniers mois, nous avons été témoins du meurtre brutal de deux jeunes employés de l’ambassade d’Israël à Washington ; de l’attaque à la bombe incendiaire de Boulder, au Colorado, contre des Juifs et d’autres personnes qui réclamaient la libération des otages ; d’un incendie criminel contre le domicile du gouverneur de la Pennsylvanie ; et d’autres attentats.
Les Juifs et l’époque impérialiste
Le droit d’Israël d’exister n’est pas enraciné dans l’histoire ancienne, quand les Juifs, les Arabes et d’innombrables autres tribus vivaient côte à côte il y a des millénaires dans la même partie du monde.
La nécessité de l’existence d’Israël s’est décidée à l’époque impérialiste, qui s’est ouverte dans les dernières années du 19e siècle. Elle s’est décidée dans la désintégration des relations féodales en Europe de l’Est, où vivaient des millions de Juifs ; dans la domination croissante du capitalisme industriel ; et dans les conflits impérialistes qui ont conduit aux Première et Deuxième Guerres mondiales et à leurs conséquences meurtrières pour des centaines de millions d’êtres humains.
Le droit et la nécessité pour Israël d’exister se sont décidés quand le régime nazi d’Hitler, qui a pris le pouvoir en Allemagne en 1933, a systématiquement visé les Juifs jusqu’à leur massacre de masse à travers l’Europe au cours de l’Holocauste. À l’époque de l’impérialisme, la lutte contre la haine des Juifs est une question de classe pour les travailleurs, peu importe où nous vivons et travaillons. En même temps, il s’agit d’une question nationale liée à la lutte contre toutes les oppressions nationales dans le monde.
Comme l’histoire nous l’a montré, quand la crise économique et sociale du capitalisme s’aggrave, en particulier lorsque les classes possédantes commencent à craindre que les travailleurs et les agriculteurs remettent en cause leurs richesses et leur pouvoir politique, certaines sections des dirigeants font la promotion de la haine des Juifs comme l’une des principales bannières de la réaction. Ils tentent de convaincre les couches inquiètes des classes moyennes, qui craignent d’être précipitées dans la classe ouvrière, ainsi que les travailleurs démoralisés que les Juifs sont la cause de leur misère sociale – et non pas le capitalisme, les classes exploiteuses et l’ordre impérialiste mondial. Dans ces conditions, des groupes de capitalistes commencent à financer les brutes fascistes et nazies et à les encourager à attaquer et détruire les syndicats et les partis politiques de la classe ouvrière, tout en crachant de la démagogie anti-juive en le faisant.
La nécessité de créer Israël comme un refuge pour les Juifs est aussi un produit de l’Internationale communiste sous la direction de Joseph Staline. Tout en revendiquant faussement le drapeau rouge des travailleurs communistes, la contre-révolution stalinienne sanglante en Union soviétique à la fin des années 1920 et dans les années 1930 a en fait physiquement liquidé la direction bolchevique et une grande partie des cadres ouvriers de la Révolution russe d’Octobre 1917 et de l’Internationale communiste. Elle a réduit à néant tous les aspects de l’internationalisme prolétarien du dirigeant bolchevique Vladimir Lénine, tous les aspects du marxisme.
Avec leur politique de « Front populaire », les staliniens ont trahi les luttes ouvrières révolutionnaires en Allemagne, en France et en Espagne avant la Deuxième Guerre mondiale, et en Grèce, en Italie et en France après la guerre. Les Partis communistes dirigés par les staliniens et leur mouvement mondial ont œuvré à restabiliser les gouvernements capitalistes à travers l’Europe, en accord avec les aspirations de Moscou qui cherchait à établir à une « coexistence pacifique » avec Washington et les autres puissances exploiteuses.
Enfin, le droit et la nécessité pour Israël d’exister se sont décidés dans le fait, souvent consciemment ignoré, que les gouvernements impérialistes soi-disant « démocratiques » de Washington, Londres, Paris et ailleurs savaient parfaitement ce que des millions de Juifs subissaient sous les nazis et les régimes fascistes alliés avant et pendant la Deuxième Guerre mondiale. Bien plus, ces « démocraties » étaient elles-mêmes directement coupables de ce que des centaines de milliers de survivants juifs ont continué à subir – beaucoup dans ce qu’on a appelé les Camps de personnes déplacées en Allemagne, en Italie et en Autriche – après la victoire de leurs « libérateurs » contre les forces nazies et leurs rivaux impérialistes dans ces pays en 1945.
Pourtant, chacun des vainqueurs impérialistes, en particulier les États-Unis et le Royaume-Uni, a fermé ses portes à l’immigration juive au lendemain de l’Holocauste.
Où les Juifs pouvaient-ils aller ?
Contre-révolution en Iran
Le régime capitaliste dominé par le clergé en Iran – l’un des pays les plus grands et les plus avancés sur le plan industriel au Moyen-Orient – a consolidé son pouvoir il y a une quarantaine d’années.
Malgré la réécriture de l’histoire par les partisans du régime actuel et les propagandistes impérialistes, ce gouvernement capitaliste réactionnaire n’est pas l’héritier de la victoire révolutionnaire et des premières conquêtes des travailleurs iraniens qui ont renversé en 1979 la monarchie du Shah Reza Pahlavi que soutenaient les États-Unis.

Le régime actuel est le produit d’une contre-révolution, qui a cherché à écraser les gains réalisés par les travailleurs et les paysans lors de cette puissante mobilisation. Il est né de la peur des dirigeants face aux conseils ouvriers dans les usines et autres lieux de travail à travers l’Iran ; face aux revendications des agriculteurs pour la terre et des moyens de la cultiver ; face aux batailles des peuples opprimés pour leurs droits linguistiques et pour d’autres droits nationaux ; face à la montée des luttes pour l’égalité des femmes.
Dès le début, le gouvernement contre-révolutionnaire et ses milices de brutes, aujourd’hui les faussement nommés « Gardiens de la révolution », se sont efforcés d’alimenter la haine des Juifs. Ils espéraient que cette démagogie toxique les aiderait à détourner du régime de plus en plus répressif la colère des travailleurs et des nationalités opprimées – Azerbaïdjanais, Kurdes, Arabes, Baloutches et autres.
Surtout depuis la remontée en 2017 des luttes des travailleurs, des agriculteurs, des femmes et des nationalités opprimées, le régime de Téhéran engendre à son endroit une haine croissante parmi de larges couches de travailleurs et de petits-bourgeois moins bien nantis. Ceux-ci sont de plus en plus nombreux à s’horrifier des morts et des autres conséquences causées par les aventures militaires expansionnistes du gouvernement dans la région. Ceci comprend le nombre de morts et de blessés à la suite d’une énorme explosion portuaire plus tôt cette année, causée par ce que les travailleurs ont de bonnes raisons de croire être des cargaisons clandestines de produits chimiques destinés à produire le carburant pour missiles du régime.
La majorité des travailleurs iraniens détestent le recours par le gouvernement à des forces alliées, ou proxies, pour promouvoir ses objectifs réactionnaires dans la région – le Hezbollah au Liban, le Hamas à Gaza, les Houthis au Yémen et, jusqu’en décembre 2024, la tyrannie méprisée de Bachar el-Assad en Syrie. Les défaites infligées à ces forces anti-ouvrières par le gouvernement israélien depuis le 7 octobre sont saluées par les opprimés et les exploités en Iran.
Les coups portés à ces forces réactionnaires dans toute la région ont renforcé la confiance des travailleurs iraniens dans leur propre capacité de s’organiser et de combattre le gouvernement contre-révolutionnaire de Téhéran. Les travailleurs, y compris ceux qui étaient en première ligne de la récente grève nationale des camionneurs, ont rejeté les appels du régime à sacrifier et à subordonner leurs revendications au nom du soutien au Hamas et d’appels à « Mort à Israël ».
Les travailleurs iraniens, qui comprennent de nombreuses nationalités, restent le principal frein aux objectifs du régime en place. Ils sont craints à la fois par les dirigeants iraniens et par les puissances impérialistes.
Les frappes aériennes de Washington contre l’Iran sont un cadeau à ses dirigeants contre-révolutionnaires. Elles les aident à mousser un soutien « patriotique » à leur cours expansionniste et de haine des Juifs.
Construire un parti ouvrier révolutionnaire
La crise de l’impérialisme s’accélère et les conflits entre les puissances capitalistes rivales deviennent encore plus explosifs. Comme lors de l’escalade qui a conduit à la deuxième boucherie impérialiste du vingtième siècle, la réaction embrasse une fois de plus ouvertement sur sa bannière la haine des Juifs et la violence. Mais c’est le capitalisme et les classes dirigeantes qui sont l’ennemi des travailleurs du monde entier, pas « les Juifs ».
Le Parti socialiste des travailleurs n’est pas un « parti de la paix ». Contrairement aux partis capitalistes – démocrate, républicain et autres – nous ne professons pas la paix tout en faisant campagne pour la guerre. Nous sommes la réponse ouvrière à la guerre, le parti anti-guerre, contre leurs guerres. La mobilisation de la classe ouvrière et des autres producteurs exploités pour empêcher un nouvel Holocauste est essentielle à la victoire dans cette bataille. Tout comme il est du devoir de chaque travailleur ayant une conscience de classe aux États-Unis d’expliquer et de lutter sans condition pour les revendications :
- Défendons le droit d’Israël d’exister en tant que refuge pour les Juifs !
- Troupes, bases et navires de guerre américains, hors du Moyen-Orient !
La lutte contre l’impérialisme américain et ses guerres nécessite la construction d’un parti révolutionnaire ouvrier, indépendant et opposé sans compromis au gouvernement possédants et aux partis politiques des dirigeants possédants. C’est aussi vrai pour les travailleurs de tous les pays du monde.
Notre objectif est de construire un parti capable d’organiser et de mobiliser les travailleurs et les opprimés par millions pour arracher le pouvoir d’État des mains des fauteurs de guerre et des exploiteurs, dont la domination de classe perpétue la haine des Juifs, le racisme, le statut de seconde classe des femmes, et toutes les formes d’oppression nationale et d’asservissement humain.
Voilà la voie vers la conquête révolutionnaire du pouvoir ouvrier aux États-Unis. La voie vers la révolution socialiste, vers la solidarité avec les luttes ouvrières internationales, qui créeront un nouveau monde fondé sur la coopération et non le capitalisme des loups qui se mangent entre eux. Un monde socialiste.
Joignez-vous au Parti socialiste des travailleurs sur les lignes de front de cette bataille.